Le Comité national de gestion de la lutte n'est pas impressionné par la bravade entamée par certains lutteurs contre le président du Cng, Alioune Sarr. C'est le vice-président du Cng, Thierno Kâ, par ailleurs chargé de la communication qui le fait savoir.
Thierno Kâ rappelle qu'Alioune Sarr a été choisi par les autorités parce qu'ils ont eu confiance en lui et qu'ils continuent d'avoir confiance en sa personne. Sur les sanctions, il assure que les lutteurs n'ont qu'à s'en prendre à eux-mêmes. Car, s'ils sont sanctionnés, c'est parce qu'ils n'ont pas respecté leur engagement contractuel.
"Ils n'avaient pas été là lorsque Alioune Sarr était nommé. Lorsque Alioune Sarr a été nommé, plusieurs d'entres eux n'étaient pas dans le milieu de la lutte. (...) C'est une question de confiance qui fait qu'Alioune Sarr a été choisi. (...) Ils peuvent dire ce qu'ils veulent. Il ne s'agit pas de ponction, mais c'est une sanction parce que le lutteur ne s'est pas conformé avec ce que prévoit le règlement et le contrat qu'il a signé pour le combat", a dit savoir Thierno Kâ, vice-président du Comité national de gestion de la lutte.