Dans certaines zones d’Afrique subsaharienne, près d’un quart des réserves des banques de sang sont contaminées par des parasites à l’origine du paludisme, révèle une étude publiée lundi à l’occasion de l’ouverture à Dakar de l’Initiative multilatérale sur le paludisme.
Pour parvenir à ce résultat, le docteur britannique Selali Fiamanya et ses pairs du Réseau mondial de surveillance de la résistance aux antipaludiques (WWARN) ont compilé les données de 26 études existantes, portant sur un total de 22 508 donneurs de sang.... suite de l'article sur Jeune Afrique