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Les quotidiens sénégalais s’indigent du meurtre d’un bébé
Publié le mardi 20 mars 2018  |  Agence de Presse Africaine
L`adoption
© aDakar.com par MC
L`adoption du code de la presse continue de faire débat au Sénégal
Photo: Revue de presse; Journaux
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La presse quotidienne sénégalaise parue mardi rend traite, pour s’en indigner, du meurtre du bébé Fallou Diop à Rufisque (13 km de Dakar).

«Découverte macabre d’un bébé-Odieux ! », s’exclame L’Observateur, expliquant que porté disparu jeudi, Serigne Fallou Diop, a été retrouvé mort dans un sac en nylon, assailli par des mouches.

Le journal informe que le corps en putréfaction avancée portait des traces de charbon.

L’As parle d’enlèvement suivi de meurtre d’un enfant à Rufisque et titre : «Fallou Diop retrouvé dans un sachet, la tête rasée ». Ce qui pousse, ajoute le journal, les populations de Rufisque à se révolter.

«Enlèvements d’enfants et découverte macabre : Rufisque noire de colère », rapporte EnQuête, amenant Libération à noter : «Porté disparu depuis quelques jours-Serigne Fallou Diop, deux ans, retrouvé dans un sac en plastique ».

« Fallou Diop, un bébé de 28 mois, retrouvé mort », renchérit Sud Quotidien.

Sur la série de meurtres de Sénégalais en Espagne, EnQuête donne «les raisons des drames ».

Libération traite du rebondissement dans l’enquête sur le crash d’un avion de Sénégalair et informe que «le procureur réclame 6 inculpations ».

Il s’agit, précise le journal, de Maguèye Marame Ndao (Dg Anacim), Gérald Gabriel Diouf (propriétaire de Sénégalair), Mohamed Mansour Sy (Directeur des transports aériens) nommément visés dans le réquisitoire introductif.

A propos de la présidentielle 2019, Sud Quotidien note que « le parrainage divise la classe politique ».

Mais pour Le Quotidien, « Macky vote le parrainage » et que le conseil des ministres a adopté les projets de révision de la Constitution et du Code électoral.

Ce faisant, il faudra à chaque candidat au moins 1% des inscrits dans sept régions.

« Directoire de campagne pour la présidentielle : Le pouvoir aux jeunes ? », s’interroge Vox Populi.


TE/APA
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