La justice ne veut pas lâcher Assane Diouf. Elle vient de lui refuser la liberté provisoire.
L’auteur des chroniques incendiaires sur les réseaux sociaux, qui doit être entendu dans le fond le 6 mars prochain, avait sollicité une liberté conditionnelle. Libération informe que celle-ci a été rejetée par le parquet suivi dans sa décision par le juge d’instruction. Tous deux ont évoqué des risques de trouble à l’ordre public.
Les avocats de Assane Diouf ont fait appel devant la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar, en attendant son face à face avec le doyen des juges, le 6 mars.
Assane Diouf est emprisonné depuis novembre 2017, pour, entre autres, pour trouble à l’ordre public et outrage à un ministre du culte.