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Présidentielle 2019 – Le RDS dénonce toutes velléités d’acharnement contre tout potentiel candidat
Publié le mardi 20 fevrier 2018  |  Senego
Présidentielle
© Autre presse par DR
Présidentielle 2019 – Le RDS dénonce toutes velléités d’acharnement contre tout potentiel candidat
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Nous ne sommes ni de la famille politique de Idrissa Seck, ni de sa coalition, encore moins de son parti. La dernière fois que nous nous sommes parlé, c’était il y a 10 ans, précisément en avril 2008, alors qu’il venait nous présenter ses condoléances, à l’occasion du décès de Latif Guéye.

Mais en tant que modestes militants de la Démocratie, nous sommes scandalisés d’apprendre, comme tout le monde, par voie de presse, qu’on serait en train de concocter dans des laboratoires politiques clandestins un coup fourré politico-judiciaire, pour mettre hors- compétition le leader du parti « Rewmi »candidat à la prochaine Présidentielle.

Si ces manœuvres souterraines et anti-démocratiques sont avérées, le RDS les désapprouvent hautement, en ce qu'elles constituent une grave entorse aux principes et valeurs qui fondent la République, que nous avons tous la prétention d’incarner et de défendre. Au terme de notre Charte fondamentale, chaque citoyen, jouissant de ses prérogatives civiques, a le droit le plus absolu de briguer les suffrages de ses concitoyens, à l’occasion de n’importe quelle joute électorale, fut- elle aussi décisive que la Présidentielle du 24 février 2019 toute proche.

Le RDS en appelle au respect scrupuleux des ambitions légitimes de tous les prétendants, déclarés ou en veilleuse, si tant est que leurs démarches tendant à la matérialisation de leurs prétentions s’inscrivent dans les limites des lois les régissant. Le RDS exhorte les tenants du pouvoir comme les acteurs de l’opposition à mettre un terme à l’escalade de la violence verbale, en commençant par mettre un bémol aux invectives et procès d’intention en tous genres, sources potentielles de dérives, qui ont abrégé l’expérience démocratique de nombre de jeunes pays du
continent.

Gardons présent à l’esprit que l’histoire du Sénégal ne s’arrête pas le 24 février 2018; que ce pays nous appartient à tous et, qu’en dépit de nos divergences du moment, nous sommes condamnés à le construire ensemble.
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