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Sénégal : enquête sur le bilan controversé de la traque aux biens mal acquis
Publié le mercredi 3 janvier 2018  |  Jeune Afrique
Macky
© aDakar.com par DF
Macky Sall à Thiès pour les besoins du Conseil des ministres décentralisé
Thiès, le 05 Juin 2014- Les populations de la ville de Thiès ont réservé mercredi un accueil triomphal au chef de l’Etat Macky Sall, venu dans la cité du rail pour présider un conseil de ministres décentralisé. Le chef de l`Etat a été reçu par le maire de Thiès, Idrissa Seck. Photo: Aminata Touré, Premier ministre du Sénégal




Combien la « traque aux biens mal acquis » a-t-elle rapporté à l’État sénégalais : 50, 150 ou 250 milliards de francs CFA ? Depuis la sortie fracassante de l’ex-Première ministre Aminata Touré, fin décembre, les spéculations vont bon train quant-à la réalité des sommes recouvrées depuis 2012…

Présentée comme l’un des principaux chantiers engagés par Macky Sall au lendemain de son élection, en mars 2012, la « traque aux biens mal acquis » fait l’objet, au Sénégal, d’une controverse récurrente. Depuis plusieurs années, les autorités peinent en effet à livrer un bilan convaincant des sommes qui auraient été recouvrées par l’administration suite à des procédures judiciaires pour enrichissement illicite ou détournement de deniers publics visant d’anciens responsables du régime d’Abdoulaye Wade.

La polémique a été récemment relancée par Aminata Touré – l’ancienne ministre de la Justice (2012-2013), puis Première ministre (2013-2014) de Macky Sall -, qui fut chargée, à l’origine, de cette campagne de « reddition des comptes publics ». Le 19 décembre, interviewée par la Radio Futur Médias (RFM), elle assurait en effet que celle-ci avait permis à l’État sénégalais de recouvrer 200 milliards de francs CFA (près de 305 millions d’euros) depuis 2012.
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