Jeune Afrique révèle le contenu de cette étude de 66 pages sur laquelle planchent les pays membres. Globalement, le Maroc est le bienvenu mais son adhésion à ce marché commun doit se faire d'une façon progressive.
« Pour ce qui est de l’adhésion à part entière du Maroc à la Cedeao, de la Tunisie en qualité d’observateur et de la Mauritanie comme membre associé, le sommet a mis en place un comité composé des présidents togolais, ivoirien, ghanéen, guinéen et nigérian pour adopter les termes de références et superviser l’étude approfondie des implications de cette adhésion ». Voici ce qu’ont convenu les chefs d’État africains à l’issue du 52ème sommet de l’organisation régionale, réuni le 16 décembre à Abuja.
Jeune Afrique a pu accéder à l’étude d’impact soumise aux chefs d’État qui ont participé au sommet d’Abuja. Elle est globalement positive pour le Maroc, mais soulève un certain nombre de freins et de contraintes, essentiellement liées au décalage entre l’économie marocaine et celle de certains pays de la région. En voici les principales conclusions.
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