Monsieur le Président,
Au Sénégal, il nous faut une bonne politique de financement des PME et un suivi évaluation.Arrêter le clientélisme politique, résoudre le problème de compétitivité.Redonner de la force à notre économie. C'est indispensable ! Ce sont les entreprises qui créent les emplois et vous devez tout faire pour qu'elles y parviennent. Il n'y pas assez d'efficacité dans l'action publique (vous aviez jugé utile l'année dernière la tenue d'un forum sur l'administration.Quelles sont les conclusions') et donc trop d'interrogations sur la capacité de notre pays à s'en sortir, alors qu'il a tant d'atouts.Donner de l'impulsion à l'équipe gouvernementale et à tous les secteurs sur lesquels reposent notre espoir pour une meilleure croissance à deux chiffres.Il y a des interrogations sur tout ce qui se fait en termes de politique d'emploi, on se demande pourquoi depuis 1960 avec ces ressources humaines à notre chevet,avec les centaines de milliards de la Banque mondiale et des partenaires au développement, ça n'a pas marché, peut-être nous avions fait un faux départ : c'est alors un temps de réflexion.
Il faut alors oser la remise en cause des idées préconçues, il faut oser faire bouger les lignes, oser les changements, oser affronter les difficultés, oser dire aux amateurs du désastre qu'ils n'ont pas de places dans notre système.
Le plus grand soin d'un bon gouvernement devrait être d'habituer peu à peu les peuples à se passer de lui !
Le changement c'est une force qui donne des directions à prendre.
Lass badiane président mouvement Dieum kanam /Secrétaire élu commune de grand Yoff BBY