La Sortie hier d’Ali Mansoor, chef de la délégation du fonds monétaire international (Fmi), sur les bons et mauvais points de l’économie sénégalaise, est largement commentée par les quotidiens parus mercredi.
«Politiques économiques : Le Fmi décerne un satisfécit au Sénégal», titre Le Soleil.
En page intérieure, ce quotidien national explique que les résultats macroéconomiques enregistrés par le Sénégal, pour l’année en cours, sont globalement satisfaisants ; le taux d croissance sera supérieur à 6%.
Toutefois, l’institution de Bretton Woods invite le Gouvernement à poursuivre les réformes et à réduire la charge de la dette.
Selon L’As, en faisant la revue du programme économique, «le Fmi liste les bons et mauvais points du Sénégal».
«Le Fmi attire l’attention sur la croissance de la dette publique qui passe de 24% des recettes à 30%. Le Gouvernement est invité à opérer des réformes afin de ramener la dette au niveau où elle était en 2014», écrit L’As.
«Situation économique du Sénégal : Les bonnes et mauvaises notes du Fmi», écrit EnQuête.
De son côté, Sud Quotidien détaille : «Croissance économique et dette publique : Les bons et mauvais points du Fmi. Une croissance économique solide et au-dessus de 6%. Une dette publique qui s’accentue».
Pour Walfadjri, «le Fmi a alerté sur la dette émergente du Sénégal».
Ce journal consacre sa une à l’installation, aujourd’hui, des Commissions de l’Assemblée nationale, et souligne que «Benno (est) encore à l’épreuve du partage du pouvoir».
«La rationalisation des partis divise la classe politique», titre Vox Populi.
Pendant ce temps, L’Observateur informe que nommé Dg de la Caisse des dépôts et consignations (Cdc), «Aliou Sall va démissionner» de la présidence de l’Association des maires du Sénégal (Ams).
«Il démissionne de l’Ams, de la Bdk, de la Bda et autres : Aliou Sall se consigne à la Cdc», renseigne Le Quotidien.
Dans sa rubrique «Tel Quel», le journal EnQuête parle d’Aly Ngouille Ndiaye, «un polytechnicien à l’Intérieur».
«Fils de l’ancien maire socialiste de Linguère, Ndiatté Ndiaye, le nouveau ministre de l’Intérieur a longtemps résisté aux sirènes de la politique. Ecole polytechnique, formation militaire à Bango, Etats-Unis, Djomec, Bhs…la longue marche», note EnQuête.