Une dizaine de jours après l’incendie d’un groupe électrogène, la capacité de production de la centrale du Cap-des-Biches est toujours réduite. Mais la qualité des prestations de la Senelec est maintenue.
L’incendie, le 8 août dernier, d’un groupe électrogène de la centrale électrique du Cap-des-Biches à Rufisque (25 km au sud de Dakar), avait momentanément privé les populations riveraines de courant électrique. Après une dizaine de jours, 35 MW du parc de production de l’énergéticien public, Senelec, sont encore immobilisés. Et la capacité de production de la centrale s’en est trouvée réduite.
« C’est un groupe électrogène de 18 MW, plus un autre qui lui est contigu d’une capacité d’environ 17 MW. Ce qui fait une indisponibilité totale de 35MW pour les deux machines », explique à Jeune Afrique une source au sein de la Senelec. L’autre machine n’a pas été endommagée par l’incendie ; elle sera remise en service très rapidement, assure notre source.
... suite de l'article sur Jeune Afrique