La presse quotidienne sénégalaise parvenue vendredi à APA met en exergue les élections législatives du 30 juillet 2017 et les faits divers.
Rappelant que 47 listes sont enregistrées pour les législatives, Sud Quotidien parle d’un «scrutin, mille votes !»
«Si les choses sont bien organisées, l’électeur ne passera pas plus de 3 voire 4 minutes dans le bureau de vote», estime Benoit Sambou, plénipotentiaire de la coalition Benno Bokk Yakaar (au pouvoir).
Pour Mamadou Diop Decroix de la coalition gagnante Wattu Sénégal du Parti démocratique sénégalais (Pds) et de ses alliés, «le régime n’a qu’à retirer toutes les listes qu’il a parrainées».
Pour ces élections, Walfadjri donne «les bastions à ne pas perdre» pour faire le plein de députés. Parmi ces bastions électoraux, le journal cite Dakar, Thiès, Mbacké et Guédiawaye.
«Campagne de Manko Taxawu Sénégal : la dream team de Khalifa (maire de Dakar en prison)».
Dans cette équipe, nos confrères retiennent Idrissa Seck, Cheikh Bamba Dièye, et Serigne Mansour Sy Djamil.
Le commando de Benno Bokk Yaakar pour gagner Dakar est disséqué par L’Observateur qui cite Mbaye Ndiaye, Pape Abdoulaye Seck, Amadou Bâ, Abdoulaye Diouf Sarr, Seydou Guèye, Maïmouna Ndoye Seck…
Le Quotidien consacre sa une aux faits de société t titre : «Après son inculpation : Kabirou Wari es vérités».
«La procédure date de 2012. On a voulu me mêler à des histoires de mœurs», se défend Kabirou Mbodj, Pgd de Wari inculpé pour abus de biens sociaux.
«Le Pdg de Wari face à la presse : Kabirou martèle ses vérités», note L’Observateur, dans lequel journal, le mis en cause indique : «Mon inculpation, l’acharnement dont je fais l’objet et les lenteurs dans la procédure d’acquisition de Tigo».
Le Témoin s’intéresse à ce «vaste trafic d’insuline à Dakar» avec l’exportation frauduleuse de ces médicaments vers des pays limitrophes.
Pendant ce temps, EnQuête traite de la situation de la presse au Sénégal avec «les vérités de Mbagnick Ndiaye (ministre de la Culture et de la Communication)».
Selon le ministre, il faut se féliciter que le Code de la presse soit adopté après 17 ans de tentative d’élaboration. «C’est aux journalistes de se battre pour donner plus de crédibilité à leur corporation», affirme Mbagnick Ndiaye.