Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Senegal    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Économie

La Banque mondiale demande « plus de transparence » pour engager 900 millions $ sur le Plan Sénégal émergent
Publié le mercredi 19 mars 2014   |  Agence Ecofin


Véra
© Autre presse par DR
Véra Songwe, Directrice des Opérations de la Banque mondiale


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

La Banque mondiale (BM) pourra contribuer à hauteur de 900 millions de dollars au financement du Plan Sénégal émergent (PSE), a annoncé Bertrand Badré, le directeur général en charge des Finances de l’institution le 14 mars. M. Badré, qui s’exprimait au cours d’une conférence de presse tenue à Dakar à l’issue d’une visite de trois jour au Sénégal, a également indiqué avoir rencontré des représentants des autorités sénégalaise et du secteur privé ainsi que le vice-gouverneur de la BCEAO. Les secteurs de l’énergie, de l’agriculture, des infrastructures et l’éducation ont été, selon lui, au centre de ces rencontres.

La directrice des opérations de la Banque mondiale au Sénégal, Véra Songwé (photo), a, par ailleurs, estimé qu’il faudrait «plus de transparence pour engager les 900 millions de dollars supplémentaires» destinés à soutenir le PSE, indiquant que son institution va engager des discussions avec les autorités sénégalaises sur les conditions d’utilisation de cette enveloppe.

Mme Songwé a rappelé, dans ce cadre, que le volume des engagements en cours de la Banque mondiale au Sénégal s’élève à 1,2 milliard de dollars, répartis sur 22 projets.

Il est à rappeler que les bailleurs de fonds se sont engagés, à l’occasion d’une conférence de donateurs organisée fin février à Paris, à mobiliser 7,8 milliards de dollars pour le Plan Sénégal émergent. Ce plan de développement vise à permettre au Sénégal de réaliser une croissance économique d'au moins 7 % à l'horizon 2018, contre 4,6 % actuellement. Il doit aussi aider ce pays d’Afrique de l’Ouest à atteindre le statut de pays émergent en 2035, notamment à travers la stimulation des secteurs de l'agriculture, de la pêche, de l'agro-industrie, de l'exploitation minière et du tourisme.

 Commentaires