La Direction des relations avec les institutions (DRI) entend développer une synergie d’actions avec les institutions parlementaires de la CEDEAO, de l’UEMOA et de l’Union africaine, d’une part, et entre eux et l’Assemblée nationale, d’autre part, a appris l’APS.
Cet objectif était au menu d’un séminaire axé sur le thème : ‘’Les relations du Sénégal avec les Institutions parlementaires de la CEDEAO, de l’UEMOA et de l’UA : quelle synergie d’actions entre les ministères compétents ?’’.
Le décret relatif aux attributions du ministère du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les institutions met en lumière le caractère transversal de certaines missions, dont la mise en œuvre est dévolue à plusieurs ministères, explique-t-on à la DRI.
Ce qui traduit ‘’la nécessité de mettre en place des mécanismes de collaboration et d’harmonisation entre les différentes parties prenantes’’.
Ainsi, la DRI entend développer une synergie d’actions avec la Direction Afrique et Union africaine (du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur), la Direction de l’intégration régionale, la Direction du NEPAD et des partenariats globaux, (du ministère de l’Intégration africaine, du NEPAD et de la Promotion de la Bonne Gouvernance) et la Cellule de suivi de l’intégration (du ministère de l’Economie et des Finances).
L’objectif du séminaire, qui s’est tenu mercredi, ‘’est de définir des synergies entre les ministères compétents dans la gestion des relations du Sénégal avec les institutions parlementaires de la CEDEAO, de l’UEMOA et de l’Union africaine, d’une part, et entre eux et l’Assemblée nationale, d’autre part’’.
Il s’agissait de discuter des missions dévolues aux structures sus mentionnées pour mieux appréhender leurs points de convergence. L’objectif était également de définir les actions permettant de parvenir à une synergie d’actions entre les ministères ayant des compétences dans la gestion des relations du Sénégal avec les institutions parlementaires de la CEDEAO, de l’UEMOA et de l’UA et mettre en place un cadre de concertation entre l’Administration et l’Assemblée nationale.
Outre le partage des missions respectives et leur traduction en termes d’activités, les participants ont souligné la nécessité de définir un plan d’actions pertinentes à mettre en œuvre dans le court terme (juillet 2016- juillet 2017) et la mise en place d’un cadre de concertation entre l’Administration et l’Assemblée nationale.