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L’IAM, un Centre d’Excellence de l’UEMOA le déplore : L’Afrique, timidement présente aux instances internationales de médiation et d’arbitrage
Publié le jeudi 6 mars 2014   |  Setal


L’IAM,
© Autre presse par DR
L’IAM, un Centre d’Excellence de l’UEMOA le déplore : L’Afrique, timidement présente aux instances internationales de médiation et d’arbitrage


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Il a été relevé la timide présence de l’Afrique au niveau des instances internationales de médiation et d’arbitrage; une situation qui contraste avec les innombrables dispositions et opportunités dont dispose le continents en matière d’arbitrage conformément à ses us et coutumes.
Cette remarque est ressortie d’un espace de rencontre et d’échanges sur plusieurs problématiques comme : « L’arbitrage CIRDI : La médiation entre le droit et la culture juridique en Afrique », L’arbitrage et le règlement des différends d’affaires, perspectives africaines. La rencontre s’est tenue ce lundi 03 mars 2014, l’Institut Africaine de Ménagement (IAM).
Les thèmes qui ont été introduits par Me Ely Ousmane SARR (Bâtonnier honoraire de l’Ordre des Avocats du Sénégal), Fatou Camara (Chargée d’enseignement à l’UCAD, Présidente de l’Association des Juristes Sénégalaises) et Professeur Abdallah Cissé (avocat au barreau du Sénégal, membre associé de l’Institut de droit international) ont été l’occasion de poser au centre des débats la question de la médiation et de l’arbitrage dans le cadre des investissements.
Selon les acteurs présents, il y a là, manifestement une trajectoire de progrès que doivent arpenter nos communautés pour s’affirmer avec plus de force dans les instances internationales de médiation et régulation.
« Pour réussir ce pari, il est indispensable de s’adosser sur l’éducation et la formation en vue de promouvoir des profils suffisamment biens outillés pour porter la voix du continent et défendre ses intérêts » nous dit le communiqué issue de cette rencontre.
L’IAM, Centre d’Excellence de l’UEMOA, s’est engagé avec l’appui des experts présents à la rencontre à s’inscrire dans la dynamique de la formation professionnelle à travers la mise en place d’un Master, afin de contribuer à la résolution de l’équation des ressources humaines préparées pour relever le défi de « la présence africaine ».

Bamba Toure

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