Le premier ministre, Aminata Touré a présidé une réunion technique sur les travaux de la phase d’urgence du programme de lutte contre les inondations. C’était aussi l’occasion pour le chef du gouvernement de faire le bilan de l’année 2013 et énuméré ensemble, les difficultés liées à la mise en œuvre de cette phase. La réunion technique sur les inondations a permis de mettre en œuvre un certain nombre de piste pour l’année 2014. Parmi ces points, il y a entre autre : l’état d’avancement et d’exécution physique des différents travaux en cours ; la sécurité sur les sites de relogement ; la construction des équipements collectifs ; la disponibilité de l’assiette foncière ; la poursuite du pompage et la sécurisation des bassins et lacs ; les décomptes en instance de paiement ; le financement des travaux de gestion des eaux pluviales pour l’année 2014 ; le financement de la deuxième phase du Projet de Gestion des Eaux Pluviales ( PROGEP ).
Les efforts consentis pour la mise en œuvre de cette phase d’urgence ont eu des impacts significatifs sur la maîtrise du risque inondation. Ainsi, le premier ministre a exhorte pour la poursuite de la dynamique actuelle du déroulement des travaux dans la synergie.
Pour la réussite de ce projet, il faudra : finaliser d’urgence la matrice d’Actions prioritaires 2014 ; établir les prévisions de décaissement en relation avec l’avancement des travaux pour nous permettre de mieux arbitrer l’allocation des budgets destinés aux paiements au titre de l’année 2014; poursuivre les opérations de pompage ; initier les requêtes de financement auprès de la BID et de la BAD pour la phase 2 du PROGEP conformément aux conclusions de la mission de la Banque Mondiale ; Poursuivre le déroulement du plan de communication aux populations ; Parachever la création de l’ONPI (Office National de prévention des Inondations) et la mise sur pied de l’Observatoire National des inondations.