À Paris, les Africains réclament que les pays développés leur cèdent les technologies propres, souvent très coûteuses, afin de pouvoir allier développement et protection de la planète.
Tous les chefs d’État africains, ou presque, ont évoqué ce sujet lors de l’ouverture officielle de la COP21, le 30 novembre. Mais le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, qui dirige le comité des présidents africains sur le climat, a lancé la charge la plus lourde.
... suite de l'article sur Jeune Afrique