Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Mali    Publicité
aDakar.com NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article
Société

Les États du Sahel invités à développer le secteur agropastoral
Publié le mardi 17 novembre 2015  |  Agence de Presse Sénégalaise




Le Secrétaire exécutif du comité permanent de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS), Aboum Djime, a invité lundi à Dakar les Etats à passer à une seconde vitesse pour améliorer l’accès aux moyens et ses services de production.

’’Il est temps pour les Etats de passer à la seconde vitesse pour améliorer l’accès aux moyens, aux services et au marché du secteur agro-pastoral’’, a dit M Djime à l’occasion de la première réunion du comité technique du Projet d’appui au pastoralisme du Sahel (PRAPS).

Six pays du Sahel bénéficient de ce projet : le Sénégal, le Mali, la Mauritanie, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad. L’objectif est de construire un projet de développement commun pour améliorer le secteur agro-pastoral.

’’Nous avons décidé de construire ensemble un objectif commun de développement pour améliorer l’accès des moyens et service de production essentiel’’, a soutenu Aboum Djime, précisant que le PRAPS propose également l’accès au marché pour les éleveurs transhumants et les agropasteurs du sahel.

Pour les organisateurs, Cette première session est une meilleure façon de formuler des recommandations pour ’’la mise en œuvre efficace et efficiente du projet’’.

Dans cette perspective, les participants ’’devront travailler avec rigueur dans le suivi du contrôle et de formulation de propositions pour aider aux prises de décisions éventuelles’’, a estimé Aminata Mbengue Ndiaye ministre sénégalais de l’Elevage et des Productions animales.

Malgré la complexité du PRAPS, les pays du Sahel sont entrain de travailler à fond pour la réussite du projet, a salué le ministre qui a cité l’exemple du Sénégal.

’’Avec une couverture géographique de près de 32% du territoire et un ciblage de plus de 230 mille famille éleveurs, le PRAPS sénégalais fait partie des projets majeurs du pays’’, a affirmé Aminata Mbengue Ndiaye.

Le PRAPS est certes ambitieux et difficile, mais il peut toutefois créer une dynamique dans la sous-région, selon Christian Berger représentant de la Banque mondiale (BM).

’’Le PRAPS est un projet difficile et exigeant qui demande les efforts de tous pour aboutir à la transformation de l’espace sahélien que nous espérons’’, a t-il dit.
Commentaires

Dans le dossier

Société
Sondage
Nous suivre

Nos réseaux sociaux


Comment