Me Assane Dioma Ndiaye, président de la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH) dit être en phase avec l’Union des Magistrats du Sénégal (UMS) qui a dénoncé la libération conditionnelle par le gouvernement, des célébrités.
« Je suis en phase avec l’UMS car les conditions de libération de certaines célébrités ne sont pas encore réunies. Quelqu’un qui n’est pas condamné définitivement ne peut pas bénéficier d’une liberté conditionnelle », déclare Me Assane Dioma Ndiaye.
Selon président de la LSDH, pour bénéficier d’une liberté conditionnelle, il faut être d’abord condamné fermement, purger la moitié de sa peine et montrer une preuve de bonne conduite.
La justice ne doit pas accorder une liberté conditionnelle à un détenu en fonction de son rang social, sa célébrité et sa fortune,…comme c’est le cas dénoncé par l’UMS où la libération conditionnelle a été fait de manière sélective.