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Matar Ba: "Le port du maillot national n’est pas négociable"
Publié le lundi 10 aout 2015  |  Agence de Presse Sénégalaise
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© aDakar.com par DF
Le ministre des sports préoccupé par l`état d`avancement de la réhabilitation du stade LSS
akar, le 24 Juillet 2014- Le ministre des Sports, Matar Ba a perçu, jeudi à Dakar, une lueur d’espoir, après les engagements pris par les entrepreneurs engagés dans les travaux de réhabilitation du stade Léopold Sédar Senghor de terminer les travaux au plus tard le 15 août. ‘’Après notre réunion, les entrepreneurs ont pris des engagements pour finir le 15 août’’, a expliqué le ministre des Sports qui a reçu l’engagement des experts au sujet de l’aire de jeu où il a constaté des retards certains dans les travaux.




L’Etat prendra toujours les dispositions pour mettre les sélections dans les meilleures conditions de performance mais le port du maillot national ‘’n’est pas négociable’’, a fait savoir Matar Ba, le ministre des Sports.

‘’Nous avons une obligation et nous nous en acquittons valablement. Mais ce que je puis vous dire, c’est que le maillot national n’est pas négociable’’, a expliqué le ministre des Sports, samedi, en marge de l’assemblée générale ordinaire de la Fédération sénégalaise de football (FSF).

Matar Ba, qui était interpellé sur la récente grève de l’entraînement de l’équipe nationale du Sénégal de basket, a rappelé que l’Etat a fait ’’de grands efforts en doublant les primes’’, avant de se réjouir que ce problème soit dépassé.

‘’Vous avez appris en même temps que moi que le président de la Fédération de basket (Babacar Ndiaye) a décidé de prendre l’affaire en mains’’, a-t-il dit.

‘’Quand on a une délégation de pouvoirs, c’est bien que les instances puissent se substituer à la tutelle’’, a-t-il rappelé.

Le ministre des Sports s’est également félicité de la posture de la FSF et du sélectionneur national, Aliou Cissé, qui a coupé court à toutes les supputations au sujet de son salaire.

Au sujet de la FSF, il a rappelé que celle-ci prend en charge les dépenses des sélections de jeunes et féminine.

‘’C’est la voie à suivre’’, a-t-il expliqué, non sans rappeler que ce serait fausse route que de comparer les moyens du Sénégal à ceux des pays développés.
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