Politique
Le passage du Gouvernement à l ’ Assemblée nationale parmi les sujets à la Une
Publié le vendredi 24 avril 2015 | Agence de Presse Africaine
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La presse sénégalaise reçue vendredi à APA traite de divers sujets, dont le passage, hier, du Premier ministre, Mahammed Dionne, et de son Gouvernement, à l’Assemblée nationale pour répondre aux questions des députés.
«Les assurances du Gouvernement», titre Libération, informant que Dionne et son équipe ont parlé de la crise scolaire, de l'emploi, de l'émigration clandestine, de l'agriculture, entre autres questions.
Sur ce deuxième «Grand oral» du Pm et du Gouvernement, Sud Quotidien écrit que «la crise scolaire envahit l'hémicycle».
«Tourisme, fonds de dotation, équipements agricoles : L'Assemblée nationale auditionne», écrit L'As.
De son côté, Le Populaire écrit que «devant recevoir les syndicats d'enseignants cet après-midi, le Pm fixe les règles du jeu». Selon le journal, «face aux députés, Mahammed Dionne dit ce que le gouvernement peut».
«On ne peut pas à chaque fois, qu'on nous dise la même chose : +Attendons qu'on retourne à la base pour discuter+», dit le Pm.
«Deuxième session plénière consacrée aux questions-réponses entre les députés et le gouvernement : Une communication +Mackyllée+», note L'Observateur.
En politique, Le Populaire informe que «le Ps (Parti socialiste, mouvance présidentielle) persiste et signe» sa position sur la transhumance politique. Dans ce journal, les Verts soutiennent : «La transhumance est inacceptable, inexcusable et indéfendable».
«Le Ps persiste et signe sur la transhumance», indique Le Quotidien. «Si Macky 2012 ou Benno Bokk Yakaar essaient de se braquer, c'est leur problème», dit le Ps dans Walfadjri.
Le Soleil s'intéresse à cette visite présidentielle en Turquie et note que «Macky Sall vend la destination Sénégal aux investisseurs turcs».
S'intéressant à la Session de la Commission africaine des droits de l'homme et des peuples, Le Quotidien parle d'un «continent noir de violations» et souligne que «le Sénégal est épinglé pour esclavagisme moderne».
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