Dans le dossier de la traque des biens supposés mal acquis, la Plateforme africaine pour le développement et les droits humains (Pladh) soutient la médiation pénale ‘’s’il apparaît qu’une telle mesure est susceptible de permettre à l’État de recouvrir ses biens et de réparer le dommage subi’’. C’est ce que renseigne un communiqué de la structure ‘’droit de l’hommiste’’. Rappelant les dispositions de la loi en matière de médiation pénale, la Pladh croit savoir toutefois que ‘’si la Crei peine toujours à démontrer l’enrichissement illicite de Karim Wade, il doit bénéficier d’une liberté provisoire et d’une autorisation de sortie du territoire le temps de trouver des preuves accablantes permettant un jugement juste et équitable’’. 100 commentaires !