Politique
L ’ actualité judiciaire parmi les sujets à la Une de la presse sénégalaise
Publié le samedi 28 fevrier 2015 | Agence de Presse Africaine
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Les quotidiens sénégalais parvenus samedi à APA proposent un menu varié allant de l’actualité judiciaire aux faits divers, en passant par l’économie.
Parlant de la justice, L'As informe que «Massaly sera jugé mardi», après être mis sous mandat de dépôt hier pour «diffamation, voie de fait et outrage à la gendarmerie».
Le Populaire se focalise sur les procès des Libéraux et souligne que «Massaly et Aïda Ndiongue jugés mardi».
«Pour asseoir le délit de détournement de deniers publics : Aïda Ndiongue jugée…comme +fonctionnaire+», précise Le Témoin.
A la Une de Walfadjri, Me Doudou Ndoye, «jette un gros pavé dans la mare» et soutient que «la CREI (Cour de répression de l'enrichissement illicite) a été supprimée le 3 novembre dernier» et qu'il appartient aux magistrats d'en tirer les conséquences.
Rewmi quotidien poursuit les réactions suite aux attaques de Wade contre Macky Sall et donne la parole à Serigne Modou Bousso Dieng qui assène ses vérités. «Touba ne lâchera jamais Wade», dit le marabout.
Le Quotidien consacre sa Une à la crise à la Suneor et écrit que cette usine «raffine à l'arrêt». «De 1 200, les permanents chutent à 65. 48 milliards de dettes», explique Le Quotidien.
Sur ce sujet de la Suneor, Le Soleil relaie cet appel de certains députés qui «invitent l'Etat à reprendre cette usine».
«Corridor humanitaire de Dakar (ouvert dans le cadre de la lutte contre Ebola) a prouvé son efficacité», dit à la Une du Soleil, le Premier ministre, Mahammed Dionne.
Le journal EnQuête plonge dans «l'univers vicieux des filles mineures» et révèle un «piège charnel», avec «un jeu de séduction à l'école».
De son côté, L'Observateur était à l'arrivée hier d'une centaine de Sénégalais en provenance de Misrata et donne la parole aux «rapatriés (qui) racontent l'enfer libyen». «Les policiers tiraient sur nous comme des lapins», confie au journal, Amadou Bâ, 40 ans, pendant qu'Elloui Cissé, 27 ans, dit : «Nous étions bons que pour des punaises».
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