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Macky Sall pose la première pierre de la deuxième université de Dakar Dakar, le 21 Janvier 2014 - Le président de la République, Macky Sall, a procédé, mercredi, en fin d`après-midi à Diamniadio, à la pose de la première pierre de la deuxième Université de Dakar. |
La Majorité présidentielle populaire (MPP, opposition) de la République démocratique du Congo (RDC) a invité, vendredi à Dakar, le président sénégalais, Macky Sall, à demander à l'Union africaine d’aider à la bonne organisation de la présidentielle de 2015.
"La Mpp sollicite l'intervention de Macky Sall en sa qualité de président de la Francophonie, de demander à ses pairs de l'union africaine afin que cette organisation aide à la bonne tenue de la présidentielle de 2016", a notamment dit Rigobert Kuta, membre de la MPP qui réunit des partis d'opposition congolaise dont l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) d'Etienne Tshisekedi dont ils réclament toujours la victoire à la présidentielle de novembre 2011.
Rigobert Kuta, président du Parti des réformes dans la société (PARESO) de la République démocratique du Congo (RDC) et chargé des relations extérieures de la Majorité présidentielle populaire (MPP) s'exprimait au cours d'un point de presse au terme d'une visite au Sénégal.
Il s'est à l'occasion entretenu avec certains acteurs politiques sénégalais et a eu une séance de travail avec la Commission électorale nationale autonome (CENA).
Poursuivant son propos, M. Kuta a souligné que "compte tenu de sa stature internationale, Macky Sall peut également aider de toutes ses forces les Congolais à se parler avant la présidentielle".
Quoiqu'il en soit, a-t-il assuré, la MPP ira à la présidentielle, peut-être avec le candidat Tshisekedi qui "est en bonne santé et pourrait se présenter".
"Nous voulons dialoguer avant la présidentielle. Toutefois, nous restons vigilants quant à une éventuelle candidature du président Kabila. On ne sait pas ce qui peut arriver car, Kabila et ses amis n'ont pas encore dit leur dernier mot", a dit Rigobert Kuta.
Selon lui, le calendrier électoral de la Rd Congo "porte les germes d'un glissement" et "la Commission nationale électorale indépendante ne garantit pas la transparence des scrutins".
"C'est pourquoi, a-t-il souligné, ma séance de travail avec la Cena du Sénégal m'a permis de comprendre pourquoi ce pays est jusque là épargné par des chaos politiques, vu la composition de cette commission, composée de personnes qui ont une certaine sagesse et prouvé leur expertise dans leur profession".
TE/cat/APA
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