Le président sénégalais à Ouagadougou pour évaluer la transition au Burkina Faso #aDakar

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Le président sénégalais à Ouagadougou pour évaluer la transition au Burkina Faso

Publié le vendredi 16 janvier 2015 | Xinhua

© aDakar.com par GS
UEMOA : 20 ans au service de l`intégration économique
Lundi 20 octobre 2014. Ouagadougou. Salle des banquets de Ouaga 2000. Les chefs d`Etat et de gouvernement des pays membres de l`Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) se sont retrouvés pour célébrer le 20e anniversaire de l`organisation commune placé sous le thème "UEMOA, 20 ans, les voies d`un développement solidaire". Photo: Macky Sall, président de la République du Sénégal

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Visites de chefs d`État et de personnalités étrangères (2015)

Le président sénégalais Macky Sall est arrivé jeudi à Ouagadougou pour "faire le point" de la transition du Burkina Faso suite à la fin du régime de Blaise Compaoré en octobre dernier.
"Je suis venu justement voir le président Michel Kafando, le gouvernement et le Conseil national de transition ; faire le point avec eux pour pouvoir rendre compte à la CEDEAO. Comme vous le savez, il y a un groupe de suivi tripartite autour des Nations Unies, de l'Union africaine, de la CEDEAO qui nous a précédé, qui a travaillé avec les autorités de la transition (..)", a indiqué le président Sall, accueilli à l'aéroport international de Ouagadougou.
Pour le président Sall, c'est une visite normale qui entre dans le cadre des relations d'abord éternelles entre le Sénégal et le Burkina Faso, mais dans le cadre surtout de la mission du groupe de contact de la CEDEAO.
Sur sa participation à la marche de Paris, le 11 janvier, suite à l'attentat perpétré contre Charlie Hebdo, le chef de l'Etat sénégalais a expliqué que sa participation, entre dans le cadre du soutien "indéfectible" de son pays à la France et à la lutte contre le terrorisme.
"Ma présence à Paris le dimanche 11 janvier aux côtés du Président François hollande, aux côtés du Gouvernement et du peuple français était une présence qu'il fallait comprendre comme une manifestation de solidarité face à une agression barbare que des français ont subie suite à la tuerie des membres de la Rédaction du Journal Charlie Hebdo", a-t-il fait remarquer. F

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