Lundi, la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) n’a pas répondu positivement à la demande de mise en liberté provisoire de Karim Wade et Mamadou Pouye.
Ses avocats en avait fait la demande, estimant que vingt mois en prison étaient déjà suffisants, mais Karim Wade n’a finalement pas obtenu sa mise en liberté provisoire. Un second prévenu, Mamadou Pouye, reste également en prison avec l’ancien ministre, au sein de la maison d’arrêt de Rebeuss.
Le 29 décembre, la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) a ainsi jugé le risque de subornation de témoins trop important dans le cas de Pouye, tandis que la libération de Karim Wade présente des risques trop grands de perturbation de l’ordre public. Les juges se sont fondés entre autres sur les bruyants soutiens du fils d’Abdoulaye Wade à chacune de ses apparitions au tribunal...... suite de l'article sur Jeune Afrique