Un atelier de formation de Plan national de géomatique du Sénégal (Png/S) s’est ouvert à Dakar. Cette session réunit 30 personnes, dont des universitaires, statisticiens, producteurs de données comme le personnel de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd), l’Agence de l’informatique de l’Etat (Adie), l’Agence nationale de l’aménagement du territoire (Anat), etc.
Selon le gestionnaire du Projet d’appui canadien du Png, Paul Jolicoeur, cette rencontre permet aux participants de connaitre l’exigence de l’outil géomatique. En effet, ce projet d’un coût de 7 millions de dollars canadien (environ 3.267.880.000 FCfa), dont une contribution du Sénégal d’environ 1 million de dollar canadien (466.840.000 FCfa), existe depuis 4 ans. Il a permis de former quelques jeunes du pays. A en croire M. Jolicoeur, ces sessions de formation facilitent l’accès aux bases de données aux personnes sus nommées pour une meilleure expertise. Ce qui, selon lui, permet d’avoir plus d’informations disponibles.
Pour Daniel Pilon, en charge du Projet de base de données géo-spatiales prioritaires, il faut assurer une appropriation de la formation. Quant à Ibrahima Ndiaye de l’Anat, il estime que cet atelier leur permet d’avoir des données de qualité et diversifiées.