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Rentrée préscolaire: La case des tout-petits liste ses maux
Publié le mercredi 15 octobre 2014 | Enquête Plus
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© aDakar.com par DF
Cérémonie d`ouverture d`un atelier de formation du personnel de l`Agence nationale de la petite enfance et de la Case des tout-petits
La cérémonie d`ouverture d`un atelier de formation du personnel de l`Agence nationale de la petite enfance et de la Case des tout-petits (ANPECTP) s`est tenue aujourd`hui à Dakar. Prévu pour quatre jours, cet atelier financé à hauteur de 69 millions de francs CFA par la CLM va "permettre d`améliorer la situation nutritionnelle des enfants", a soutenu Mme Touré.
Photo: Thérèse Diouf Faye, Directrice de l`Agence nationale de la petite enfance et de la Case des tout-petits (ANPECTP) |
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- 12/10/2014
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Le temps d’une journée, la directrice de l’Agence de la case des tout-petits, a effectué une tournée dans trois de ses structures, à la Gueule Tapée, à Yoff et Guédiawaye. Histoire de s’imprégner de la situation, au lendemain de la rentrée scolaire. Surtout que, malgré des partenariats noués avec certaines structures, l’agence rencontre des difficultés.
L’accessibilité, la logistique, la vétusté des bâtiments, le déficit de matériel didactique, la prise en charge de la santé nutrition, pour ne citer que cela. Selon la directrice Thérèse Faye Diouf, des efforts sont en train d’être faits, pour satisfaire les doléances. Depuis l’année dernière, dit-elle, des constructions de nouveaux modèles ont été entamées. Et cela pour répondre aux préoccupations des enseignants qui ont toujours demandé la séparation des trois sections. ‘’Pour ce qui est de la nutrition, cette année, nous avons fait une acquisition de 25 millions de FCFA. Etant donné que nous ne pouvons pas toucher toutes les écoles, nous allons cibler des structures auxquelles les vivres vont revenir’’, a-t-elle promis.
Sur la liste des partenaires, elle cite le Programme alimentaire mondial (PAM), dont l’aide n’intervient pas dans la région de Dakar. Ce qui, dit-elle, engendre des difficultés dans la capitale. Sur ce registre de contraintes, elle en appelle à l’implication et à l’appui des collectivités locales dans le programme de Waterford, qui consiste à mieux connaitre les TIC. Selon toujours la directrice, l’acquisition des tables- bancs, matériels didactiques sera effective. Au grand bonheur des 1548 mômes qui constituent l’effectif de la case des tout-petits.
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