Tambacounda : le coordonnateur de la Maison de justice salue le travail des ASP #aDakar

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Tambacounda : le coordonnateur de la Maison de justice salue le travail des ASP

Publié le mercredi 3 septembre 2014 | Agence de Presse Sénégalaise

© aDakar.com par DF
L`ASP met à la disposition du ministère du Tourisme 1000 agents
L’Agence d`assistance à la sécurité de proximité (ASP) mettra à la disposition du ministère du Tourisme et des Transports aériens 1.000 éléments, a annoncé lundi à Dakar son directeur général, Papa Khaly Niang. Le directeur général de l’ASP a indiqué que la signature de convention avec le ministère du Tourisme et des Transports aériens se fera mardi.

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Le coordonnateur de la maison de justice de Tambacounda Saloum Oualy a salué le bon travail abattu par les assistants à la sécurité de proximité (ASP) qui sont affectés dans cette institution.

‘’Je ne sais pas (si c’est le cas) ailleurs, mais au niveau de la maison de justice, ils font un très bon travail’’, se réjouit M. Oualy, pour qui, ‘’l’initiative est à saluer’’.

La Maison de justice de Tambacounda a reçu un quota de six ASP, quatre filles et deux garçons, dont le rôle dans la marche du service, est apprécié à juste titre par son responsable.

''Depuis leur arrivée, ils nous facilitent vraiment le travail, en orientant les usagers, en leur disant ce qu’ils doivent faire’’, indique Saloum Oualy, précisant qu’ils ne participent pas aux tâches administratives proprement dites de la maison.

Mais parfois, ils aident à acheminer le courrier au tribunal départemental ou certaines convocations à leur destinataire, a t-il relevé.

Saluant leur ponctualité et leur ‘’respect des instructions’’ données, il témoigne que les ASP qui sont censés être à leur poste de 8 heures à 13heures 30 et de 15 heures à 17 heures ou 18 heures, sont déjà sur les lieux à partir de 7 heures, les jours ouvrables.

‘’Ils sont là avant moi’’, note-t-il, ajoutant que chaque fois qu’on leur donne une tâche, ils l’exécutent ‘’sans problème’’. ‘’Je pense que la formation s’est bien passée’’, commente-t-il.

Du fait de leur travail, ‘’on commence à noter un changement de comportement chez les usagers, qui savent maintenant où se mettre’’, signale le coordonnateur de la Maison de justice, relevant également le sentiment de sécurité que leur présence procure au personnel de l’institution.

‘’A mon avis, c’est quelque chose qui doit continuer, il ne faut pas former des gens et ensuite les laisser en rade’’, poursuit-il, se disant convaincu que ‘’c’est quelque chose qui a de l’avenir’’.

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