Suite à la parution ce jour de certaines informations selon lesquelles le certificat de genre de mort, établi par le médecin légiste Docteur Gisèle Woto Gaye, de l'hôpital Aristide Le Dantec, révèle que Cheikh Maleyni Sané a été étranglé à la Prison de Rebeuss, l’administration pénitentiaire monte à nouveau au créneau pour démentir et blanchir les matons. Son chargé de communication Saliou Ndiaye invite à plus d’honnêteté intellectuelle dans cette affaire.