Souleymane Ndéné Ndiaye intéressé par la direction du PDS #aDakar

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Souleymane Ndéné Ndiaye intéressé par la direction du PDS

Publié le vendredi 4 juillet 2014 | Agence de Presse Sénégalaise

© Agence de Presse Africaine par EAG
Abdoulaye Wade visite la Grande mosquée mouride en construction à Dakar
Me Abdoulaye Wade s`est rendu, ce dimanche 5 mai, à la grande mosquée en construction sur son initiative sur le site de l`ex terrain foyer. Photo: Souleymane Ndéné Ndiaye, ancien premier ministre du Sénégal

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- 29/6/2014

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L’ancien Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye a révélé, jeudi à Kaolack (centre), avoir déjà confié à l’ancien président Abdoulaye Wade sa volonté de diriger le Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) pour l'aider à gagner la présidentielle de 2017.

‘’Quoi qu’on dise, le PDS appartient à Me Abdoulaye Wade, et je sais qu’il réfléchit sur sa prochaine restructuration. Et il sait, et je le lui ai dit, que je suis candidat à sa succession à la tête de la formation où je milite depuis 1974’’, a indiqué au cours d’un point de presse celui qui a dirigé le dernier gouvernement de l’ancien président Wade.

‘’Après un passage à Guinguinéo où j’étais en mission politique depuis 1993, je suis venu me jauger à Kaolack, conquérir une base. Et j’ai constaté un potentiel fort dans le département avec un score de 22.704 voix et cela à une signification politique’’, a souligné le responsable libéral.

Le maire sortant de Guinguinéo explique qu’il est ‘’venu investir un terrain politique qui sera sans nul doute un bastion du PDS’’.

Après leur avoir souhaité bon succès aux responsables de la mouvance présidentielle qui ont remporté le scrutin, il leur a demandé de trouver des solutions aux préoccupations des populations rurales.

Balayant d’un revers de mains les accusations d’achat de conscience portées contre lui, l’ancien Premier ministre a expliqué qu’il n’avait pas les moyens d’agir de la sorte.

‘’La majorité de ceux qui étaient prompts à me donner 10 millions par semaine lors de mes sorties dans les régions, alors que j’étais Premier ministre sont aujourd’hui injoignables et c’est compréhensible’’, a-t-il déclaré.

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