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«La CAN n’est pas une compétition secondaire», les vérités d’Habib Bèye, entraîneur sénégalais de Rennes
Publié le vendredi 19 decembre 2025  |  RFI
Conférence
© aDakar.com par DF
Conférence de presse d`Afrivac à la veille d`un match de Gala à Dakar
Dakar, le 16 décembre 2016 - Les joueurs de football de la Génération 2002 vont jouer un match de Gala avec les amis de Nicolas Anelka pour soutenir la Fondation Afrivac, une fondation qui oeuvre pour une plus grande couverture vaccinale en Afrique. L`icône du football argentin Diego Maradona participera au match. En plus du match, plusieurs autres manifestations vont se dérouler. Photo: Habib Bèye, ancien international sénégalais
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Habib Beye, ancien international sénégalais et coach du Stade Rennais, livre à RFI son regard sur l’évolution de la Coupe d’Afrique des nations qui démarre ce 21 décembre au Maroc. Les défis liés à l’organisation et à la libération des joueurs, ses favoris, et la richesse de l’expérience binationale au sein du football africain, sans oublier la mutation de la Ligue 1, le redressement de Rennes et l’héritage transmis par Pape Diouf. Le coach sénégalais s’est longuement confié lors d’une rencontre organisée par la Ligue de football professionnel.

RFI : Habib, la Coupe d’Afrique des nations démarre dans deux jours au Maroc. Vous l’avez disputée à quatre reprises en tant que joueur, et vous continuez sûrement à la suivre avec attention. Comment jugez-vous l’évolution de cette compétition ces dernières années ?

Habib Beye : La CAN a toujours occupé une place centrale dans le cœur des Africains, mais aujourd’hui elle a pris une dimension supplémentaire. C’est devenu un rendez-vous incontournable, non seulement pour les joueurs africains mais aussi pour les passionnés de football mondial. Son niveau s’est considérablement élevé : autrefois, quelques grandes nations dominaient, mais désormais, on observe une réelle homogénéité. Des sélections comme le Cap-Vert, par exemple, sont capables de bousculer la hiérarchie et de se qualifier pour la Coupe du monde. Cette évolution est aussi portée par la présence croissante de joueurs africains dans les plus grands clubs européens, ce qui tire tout le continent vers le haut. Pour moi, qui ai eu la chance de la jouer quatre fois, c’est avant tout une fête, un moment d’unité et de fierté, mais aussi une compétition d’exigence qui attire de plus en plus de regards.
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