Si le Premier ministre Ousmane Sonko n’avait pas pris ses responsabilités d’annoncer notre dette à près de 100% de notre PIB, le Sénégal serait en banqueroute voire déclaré en faillite.
La FMI et nos créanciers allaient nous imposer des mesures d’ajustement insoutenables sur le plan social avec l’imposition de la fin des subventions notamment des dentées de première nécessité et de l’énergie, le gel des salaires et des recrutements de la fonction publique (éducation et santé notamment), la mise sous tutelle budgétaire et financière et des privatisations de nos bijoux de famille.
Nous courrions tout droit vers le scénario grec ou argentin.
La population comprend mieux le travail herculéen du gouvernement pour payer les salaires, soutenir les agriculteurs et les couches vulnérables.... suite de l'article sur Autre presse