Au Sénégal, c’était l’un des incidents qui avait particulièrement entaché la campagne des législatives, en novembre dernier. Plusieurs dizaines de personnes avaient été arrêtées, accusés de coups et blessures volontaires après des heurts survenus à Saint-Louis, dans le nord du pays.
Quatre-vingts personnes avaient été arrêtées autour du 10 novembre à Saint-Louis (nord), après des incidents entre des commerçants, des membres du parti au pouvoir et d'autres de la sécurité du chef de la coalition d'opposition Samm Sa Kaddu, Barthélémy Dias, alors maire de Dakar et tête de liste pour les élections législatives du 17 novembre 2024. Le parti au pouvoir avait déploré plusieurs victimes dans ses rangs, après ces incidents qui avaient entraîné, selon les autorités, des blessés par armes blanches et des vols à l'arraché... suite de l'article sur RFI