Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article
Économie

Maroc-Sénégal-Côte d’Ivoire-Guinée... le train-train du petit commerce transafricain
Publié le jeudi 26 decembre 2024  |  RFI
Acte
© aDakar.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
Acte 2 des Journées Economiques et Commerciales sénégalo-togolaises sur 3 jours
Lomé(Togo), le 14 mai 2018. Siège de la Chambre de Commerce et d’industrie du Togo (CCIT). Acte 2 des Journées Economiques et Commerciales sénégalo-togolaises. Après une 1ère édition tenue à Dakar en 2016, les hommes d’affaires togolais et sénégalais se retrouvent de nouveau à Lomé, du 14 au 16 mai dans le cadre des Journées économiques et commerciales. Au menu de ces journées, des expositions-ventes, des conférences, des rencontres B2B et aussi des visites d’entreprise. La cérémonie d’ouverture de ces journées a été présidée par le Ministre du Commerce du Togo, LEGZIM-BALOUKI, en présence des Présidents des Chambres de commerce du Togo et du Sénégal, et de l’ambassadeur du Sénégal au Togo, Mme Bineta SAMBE BA. Le thème de cette année est «le développement économique à travers la promotion des échanges Sud-Sud». Plusieurs hommes d’affaires du Sénégal ont fait le déplacement sur Lomé pour promouvoir leurs produits et services.
Comment


Du Maroc partent des habits traditionnels, des produits cosmétiques… Du Sénégal, de Guinée, de Côte d’Ivoire sont exportés souvent des produits alimentaires. À l'origine de ce petit commerce entre le royaume chérifien et les pays d'Afrique subsaharienne, il y a des marchands dont le business dépend des difficultés à franchir les frontières.

De notre correspondant au Maroc,

Il parle en darija, le dialecte marocain, ponctué de quelques mots de français, le tout avec l'accent sénégalais. « Je commence à maîtriser un peu les prix en darija. Ça permet d'attirer le client ! Je m'appelle Khadim Gningue, je suis sénégalais, je suis au Maroc depuis trois ans. »

Et depuis trois mois, Khadim, 28 ans, est vendeur au Habous, un quartier réputé pour ses boutiques d'artisanat : « Il y a beaucoup de francophones qui viennent acheter, des Sénégalais surtout, des Ivoiriens, des Camerounais. Ils achètent beaucoup de produits, ceux à base d'argan notamment. Il y a des grossistes, il y a des petits revendeurs, mais aussi des gens qui viennent pour prendre des souvenirs. »

... suite de l'article sur RFI

Commentaires