Au Sénégal c’est une campagne inédite qui a démarré samedi 9 mars. Inédite par sa durée - moins de deux semaines - mais aussi par sa configuration : l’un des favoris du scrutin, le candidat du parti dissous, le Pastef, Bassirou Diomaye Faye, est toujours en détention préventive et ne peut pas battre campagne, privé également de la possibilité d’enregistrer ses spots de campagne sur la chaîne de télévision publique. Le Pastef tente donc de construire une stratégie de campagne malgré les contraintes.... suite de l'article sur RFI