Au coin d’une petite rue sablonneuse du quartier de Yoff, dans le nord de la capitale sénégalaise, un homme s’approche souriant et lance un sonore : « Buongiorno signore ! » El Hadj a vécu quinze ans en Italie, et s’il parle quatre langues, il aime encore aborder les Européens dans celle de Dante. Il ne faut pas longtemps pour qu’il livre le fond de sa pensée sur la situation politique ; le Sénégal tout entier ne parle que de ça.... suite de l'article sur Autre presse