Les autorités sénégalaises devraient organiser l'élection présidentielle ce mois-ci comme prévu au lieu de la retarder de dix mois.
Réaction mardi de la CEDEAO au lendemain du vote du parlement fixant la présidentielle au 15 décembre 2024.
Cette décision a suscité l'incertitude auprès des sénégalais mais elle ne devrait pas entraîner de troubles généralisés, selon Mucahid Durmaz, analyste principal chez Verisk Maplecroft, société mondiale de conseil en gestion des risques.
"Il y aura une période d'agitation civile, mais elle s'estompera et je pense qu'elle n'aura pas autant d'impact et ne sera pas aussi destructrice que lors des manifestations de 2021"... suite de l'article sur Autre presse