Dans une nouvelle tribune postée sur son compte Twitter, l’ancien ministre Thierno Alassane Sall tire encore sur le fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade. Thierno Alassane Sall refuse de lâcher le morceau. Alors que le candidat du PDS et de la coalition Karim Président tente de le réduire à un simple envoyé du Premier ministre Amadou Ba, lui revient à la charge et enfonce le clou là où ça fait le plus mal.
« Il est aujourd’hui incontestable, insiste-t-il, que lorsqu’il (Karim Wade) présentait sa candidature en 2019, en accompagnant celle-ci d’une déclaration sur l’honneur affirmant qu’il était exclusivement de nationalité sénégalaise, il était pleinement conscient de perpétrer un acte de parjure. » Selon le candidat, ce seul fait constitue un motif suffisant pour le Conseil constitutionnel de l’écarter définitivement.
Dans le même sillage, le député candidat à la présidentielle a estimé que loin de le conforter, ce décret enfonce plutôt Monsieur Karim Wade. « Karim Wade administre lui-même la preuve qu’à la date du 26 décembre 2023, à l’expiration des délais de dépôt de candidatures, son dossier était irrecevable, car il avait au moins deux nationalités », dénonce TAS selon qui, cette affaire est la preuve palpable de « l’immixtion flagrante de la France dans notre processus électoral pour tenter de sauver la candidature de M. Karim Meissa Wade »