Depuis l’incarcération de l’opposant Ousmane Sonko, suivie de la dissolution de son parti, le Pastef, la seule question qui vaille est : « Comment récupérer les voix de ses partisans ? »
En juin dernier, invité du Débat BBC Afrique-Africa Radio, qui portait sur la présidentielle sénégalaise de février 2024, j’avais affirmé que, pour préserver la paix sociale, Macky Sall et Ousmane Sonko devaient soit tous les deux être candidats, soit ne l’être ni l’un ni l’autre.
On se dirige vers la deuxième option. « Macky » a renoncé, Sonko est évincé. En effet, celui que les grands médias internationaux considèrent comme « le principal opposant sénégalais » a manifestement le don de faire dépoussiérer des articles de loi désuets et des décrets inédits, propres à entraver ses ambitions, et à se les faire appliquer.... suite de l'article sur Jeune Afrique