Alors que des journalistes sont poursuivis pour propagation de fausses nouvelles, de nombreux charlatans sévissent impunément sur les chaînes de télévision et de radio sénégalaises. Un fléau dont les pouvoirs publics gagneraient à se saisir.
Journaliste d’investigation et sniper anti-régime, le Sénégalais Pape Alé Niang bénéficie depuis deux mois d’une liberté provisoire. En décembre et janvier derniers, il était passé deux fois par la case prison pour plusieurs délits de presse présumés, dont la divulgation de fausses nouvelles. Cela nous permet de faire le parallèle avec d’autre fake news, bien plus criminelles, dont les télévisions, notamment privées, se rendent impunément coupables à longueur d’année au Sénégal.... suite de l'article sur Jeune Afrique