Hamdoulilah, Hamdoulilah, Hamdoulilah. Le ridicule ne tue point lorsqu’il s’agit d’un quidam qui s’évertue à « dilater » sa diatribe verbale afin de jouer les prolongations funambulesques d’une communication Donquichottesque en redresseur ou brocardeur de torts, généreux donateur, et funeste personnage chimérique de par ses célèbres frasques peu glorieuses.
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Les Élucubrations du Cheikh Comédie Show (Par Alcaly Ben Mohamed Diouf)*
Les Élucubrations du Cheikh Comédie Show (Par Alcaly Ben Mohamed Diouf)*
ParKhalil Kamara23/02/2023 à 23:20
Hamdoulilah, Hamdoulilah, Hamdoulilah. Le ridicule ne tue point lorsqu’il s’agit d’un quidam qui s’évertue à « dilater » sa diatribe verbale afin de jouer les prolongations funambulesques d’une communication Donquichottesque en redresseur ou brocardeur de torts, généreux donateur, et funeste personnage chimérique de par ses célèbres frasques peu glorieuses.
Notre héros de Cervantès et Épigone sans originalité a vraiment raté l’occasion de se taire en s’improvisant comme un narcissiste professeur de français dans sa pédantesque tentative de correcteur du président Idrissa Seck dont il n’ignore point l’érudition coranique.
Alors pour écrire sur un sujet quelconque muni du donquichottisme métaphysique de la présomption impertinente, sommes-nous obligés de nous mentir à nous-mêmes en nous figurant que : des phrases saintes sont mal usitées car notre quidam en question dans sa pusillanimité linguistique confond « Pomme de Terre et Front de Terre » en ramenant tout au Wolof ?
Notre Don Quichotte Seck, Tartuffe de toutes les psychoses n’est-il pas ce fake héros présentant une multitude de « folies » aujourd’hui très bien identifiées du côté des honorables enseignants(tes) de la psychiatrie. Le héros de Cervantès selon les époques était l’homme de toutes les psychoses et de tous les troubles mentaux inimaginables selon Sebastien Dieguez dans cerveau & psycho N° 24
Alors notre quidam peut-il être à la fois schizophrène (pathologie psychiatrique chronique complexe qui se traduit par une perception perturbée de la réalité… flash-back d’un procès : « Elle a certes crié, mais je ne sais pas si c’était un cri de douleur, de plaisir ou de peur »), érotomane (obsédé par la sexualité), maniaco-dépressif (trouble bipolaire biochimique entrainant un déséquilibre des neurotransmetteurs dans le cerveau ici alternant ricanement et nervosité avec la manie d’une croyance solidement enracinée d’être une vedette, de posséder des capacités intellectuelles exceptionnelles. Malheureusement cette manie est aussi accompagnée de volubilité, de comportements imprudents reliés à de fausses croyances. Il peut s’agir entre autres de pratiques sexuelles à risques… etc.) dément, comme un personnage écrivain de livres, le fou au sens large tel qu’il était considéré avant les classifications moderne de la psychiatrie ; au point ou l’on peut trouver en lui à peu près n’importe quelle pathologie de l’esprit, toutes les préférences diagnostiques conçues comme une mosaïque de folies, archétypes littéraires qu’aucun vrai psychotique n’arrivera jamais à incarner…
Alors last but not the least des symptômes : paranoïaque (trouble mental caractérisé par une méfiance et une suspicion excessive à l’égard des discours d’autrui en l’occurrence du président du CESE monsieur Idrissa Seck…),
Je cite notre quidam dans sa diatribe verbale : Quand tu dis « une mention honorable sur les langues de la prospérité » « lolou dou francais quand tu dis : dilater sa poitrine » (Yaatal dënëm) c’est pas du français ». Alors là le mec est ridiculement gonflé lui qui assène : C’est pas du français (sic) en lieu et place de : « ce n’est pas du français » devient l’arroseur arrosé.
CYS notre « quidam » si imbu de son excès professoral a été rejoint par un autre illustre hurluberlu d’Adama Gaye qui avec son grain dans le cerveau lui aussi, s’aventure à apostropher une réservée grande dame : Dior Sylla Sagna assistante d’Idrissa Seck : « dis lui de cesser l’emploi de son expression favorite »: « Dilater la poitrine ». Dou Nassarane. » dixit ce guignolesque doomu Awa et non domou Maam Adama !!!
Ce magistral duo de quidams avec leurs farces de mauvais goût nous pompe l’air face à leurs histoires, leurs frasques et leurs délires puisqu’ils méconnaissent à suffisance les versets du livre saint.
Le Saint Coran
Sourate 94 – Al-Sharh – La Dilatation, L’Ouverture Verset 1.
Au nom d’Allah, le tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
بِسْمِ اللَّهِ الرَّحْمَٰنِ الرَّحِيمِ أَلَمْ نَشْرَحْ لَكَ صَدْرَكَ
94/Al-Sharh-1 : translittération française : Alam nashrah laka sadraka
N’avons-Nous pas dilaté ta poitrine ? 1.
Le verset Pour toi n’avons-Nous pas épanoui ta poitrine : Muhammad, Nous t’avons illuminé la poitrine, l’avons rendue spacieuse, vaste : Celui que Dieu veut guider, Il lui élargit la poitrine à l’Islam. On dit que le Prophète (PSL) a eu la poitrine épanouie (ouverte) la nuit du Trajet Nocturne, pour être purifiée. Même si cela avait eu lieu lors du Trajet Nocturne, il n’y a pas incompatibilité, car à l’ensemble de l’épanouissement sensoriel, s’ajoute aussi l’épanouissement moral.
Sourate 26 – Ash-Shu’ara, Les poètes Verset 84.
Au nom d’Allah, le tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
وَاجْعَل لِّي لِسَانَ صِدْقٍ فِي الْآخِرِينَ
26/Ash-Shu’ara-84: translittération française : Wa Aj`al Lī Lisāna Şidqin Fī Al-‘Ākhirīna
Et rends moi fidèle dans la langue de ceux d’après. 84.
fais que je laisse un beau souvenir pour les générations futures. 84
fais que j’aie une mention honorable sur les langues de la postérité. 84
Sourate Ash Shu’ara, signifiant en français sourate Les Poètes, est la 26e sourate du Coran. Cette sourate mecquoise aux 227 versets, est dénommée en référence au contenu du verset 224. En effet, d’après la sourate, les poètes de Quraysh utilisaient leur art pour s’opposer à la propagation de l’Islam. Il s’agit de la douzième sourate commençant par des lettres arabes « Ta, Sin, Mim », qu’on qualifie par les Muqata’at.
Révélation et histoire de la sourate (26)
Révélée pendant la période mecquoise, la sourate occupe la 47e place dans l’ordre chronologique des révélations, juste après sourate Al Waqia ou L’événement.
La sourate aborde l’unicité d’Allah, la peur du jour du Jugement, apportant des preuves concrètes sur la prophétie de Mohamed. En effet, comme vous allez le découvrir dans ce qui suit, la première partie de la sourate, forme un préambule sur la mission prophétique en citant les récits des missions prophétique de Moïse, Ibrahim, Noé, Hud, Salih et Shuaib.
Contexte de la révélation de la sourate Les Poètes
Le thème de la sourate et son style démontrent qu’elle a été révélée pendant la période mecquoise de la prophétie de Mohamed. Le thème de la 26e sourate du Coran concorde avec ceux des autres sourates mecquoises révélées à la même période, au début des prêches islamiques. En effet, la sourate traite des questions fondamentales des croyances comme l’unicité de Dieu, l’existence du jour de la Résurrection, de l’importance du message des Prophètes et de l’importance du Coran.
Selon le thème, on peut diviser ce texte coranique en trois parties. Dans la première partie, la sourate aborde la grandeur du Coran tout en apportant des arguments pour prouver l’unicité d’Allah et vient rassurer par la même occasion le Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) face à l’entêtement des polythéistes.
Dans la deuxième partie, la sourate aborde les récits de sept grands prophètes en insistant sur la difficulté qu’ils ont confronté afin de persuader leur peuple respectif d’adopter le monothéisme. Dans cette partie, la es versets font état de la logique fanatique des polythéistes à travers toutes les époques.
En relatant ces histoires et en rappelant les conséquences terribles subies par les polythéistes antérieurs, la sourate vient rassurer le Messager de Dieu (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) ainsi que les nouveaux convertis musulmans dans leur confrontation avec les mécréants de l’époque, afin qu’ils ne se découragent pas et qu’ils persévèrent dans leur croyance.
La troisième partie de la sourate, forme plutôt une conclusion des deux parties précédentes, elle évoque la véracité du message du prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui), la grandeur du Coran et conteste la logique des polythéistes. Elle s’adresse également, au Prophète (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) afin de lui présenter les instructions divines sur la manière de prêcher l’islam et la façon de traiter les croyants.
En guise de conclusion parabolique compte tenu de sa renommée et d’une érudition coranique sans précédent dans l’histoire politique du Sénégal je dédie à Mara le verset 4. De la Sourate 94 La Dilatation :
وَرَفَعْنَا لَكَ ذِكْرَكَ
4. Et n’avons-Nous pas exalté ta renommée ?
Warafa3na laka thikraka
Jumah Mubarak
* Par Alcaly Ben Mohamed Diouf
Personnalité Publique