Le commissariat central de Mbour avait ouvert une enquête après une rocambolesque histoire d’exhumation du corps d’un petit garçon de 2 ans et demi et amputé d’un bras. L’accusée, A. Dramé, qui avait voulu par la suite brûler le reste du corps avec de l’essence, a été aussitôt placée en garde-à-vue.
Originaire de Joal, la mise en cause ne jouirait pas de toutes ses facultés mentales. Son état de santé a été révélé aux enquêteurs, par un médecin légiste souligne L’Obs, dans son édition de ce vendredi 27 janvier.
Un diagnostic conforté par des membres de sa famille. De l’avis de ces derniers, établis à Joal, A. Dramé qu’ils ont perdue de vue depuis quelques années, souffre de déficience mentale depuis plus de 20 ans. Il a fallu qu’elle soit arrêtée par la police.
Extraite de sa cellule hier, A. Dramé n’a pas finalement été entendue.