L’artiste americano-sénégalais nourrit de grandes ambitions pour son pays et pour le continent africain. Mais sa ville “Akon City” n’est pour l’instant qu’une étendue de terre et de végétation quand sa monnaie numérique “Akoin” est au plus bas.
La BBC britannique consacre un article aux déboires du chanteur americano-sénégalais Akon. L’artiste star des années 2000 avait fait grand bruit en août 2018, lorsqu’il avait annoncé l’érection d’une ville portant son nom, “Akon City”. Des plans en 3D présentaient alors un paysage urbain futuriste, “avec de plantureux gratte-ciels”, fruits du travail d’un architecte libanais basé à Dubaï.
Akon City doit voir le jour à cent kilomètres au sud de Dakar, sur une surface de quelque 60 hectares d’une zone rurale comptant une vingtaine de villages. Mais depuis qu’Akon a posé la première pierre de “sa” cité, en août 2020, le projet à 6 milliards de dollars semble être au point mort. “Et même si les chèvres broutent l’herbe sur le site, il assure que ses détracteurs ‘auront l’air vraiment bêtes’ dans le futur”, écrit le diffuseur. Le chanteur promettait une ville intelligente, verte et créatrice d’emplois pour les Sénégalais.
Sur place les habitants semble partagés entre le doute et l’optimisme : “Nous pensions pouvoir y travailler mais à cette allure peut être que nos enfants le pourront […] Nous restons optimistes sur ce projet. Nous espérons que nos enfants y resteront pour travailler”, explique l’un d’eux.
Akon City doit voir le jour à cent kilomètres au sud de Dakar, sur une surface de quelque 60 hectares d’une zone rurale comptant une vingtaine de villages. Mais depuis qu’Akon a posé la première pierre de “sa” cité, en août 2020, le projet à 6 milliards de dollars semble être au point mort. “Et même si les chèvres broutent l’herbe sur le site, il assure que ses détracteurs ‘auront l’air vraiment bêtes’ dans le futur”, écrit le diffuseur. Le chanteur promettait une ville intelligente, verte et créatrice d’emplois pour les Sénégalais.
Sur place les habitants semble partagés entre le doute et l’optimisme : “Nous pensions pouvoir y travailler mais à cette allure peut être que nos enfants le pourront […] Nous restons optimistes sur ce projet. Nous espérons que nos enfants y resteront pour travailler”, explique l’un d’eux.
Akon City doit voir le jour à cent kilomètres au sud de Dakar, sur une surface de quelque 60 hectares d’une zone rurale comptant une vingtaine de villages. Mais depuis qu’Akon a posé la première pierre de “sa” cité, en août 2020, le projet à 6 milliards de dollars semble être au point mort. “Et même si les chèvres broutent l’herbe sur le site, il assure que ses détracteurs ‘auront l’air vraiment bêtes’ dans le futur”, écrit le diffuseur. Le chanteur promettait une ville intelligente, verte et créatrice d’emplois pour les Sénégalais.
Sur place les habitants semble partagés entre le doute et l’optimisme : “Nous pensions pouvoir y travailler mais à cette allure peut être que nos enfants le pourront […] Nous restons optimistes sur ce projet. Nous espérons que nos enfants y resteront pour travailler”, explique l’un d’eux.
Ce projet pharaonique était adossé à un autre : la cryptomonnaie Akoin (contraction de son nom de scène et de “coin”, “pièce de monnaie”) devait avoir cours légal dans Akon City. Mais là encore, la levée de fonds n’a pas rencontré le succès escompté et certains donateurs – alléchés par la promesse d’un retour en Akoins – ont demandé à récupérer leur mise. “La cryptomonnaie a été lancée en septembre 2021 sur la plateforme Bitmart. À l’époque, sa valeur était de 0,23 livre sterling (0,26 euro) mais elle a chuté de façon significative depuis, précédant le krach global du marché de la cryptomonnaie. Le prix de l’Akoin aujourd’hui n’est que de 0,01 livre.”