Politique
Macky Sall et son pôle urbain de Diamniadio en supers tar dans la presse sénégalaise
Publié le lundi 26 mai 2014 | Agence de Presse Africaine
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© aDakar.com par DF
Le président malien IBK hôte de la Présidence et de l`Assemblée nationale Dakar le 14 avril 2014- Le président malien Ibrahim Boubacar Keita effectue une visite d`Etat au Sénégal. Le chef de l`Etat du Mali a été reçu par le président Macky Sall, le lundi 14 avril au matin. Dans l`après midi, il a prononcé un discours devant la représentation nationale. |
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- 20/5/2014
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Les quotidiens sénégalais parvenus lundi à APA mettent en exergue le président Macky Sall, avec le lancement samedi dernier du pôle urbain de Diamniadio (30 km de Dakar) et ses réponses aux attaques d’Idrissa Seck et de Me Abdoulaye Wade.
Ainsi, Le Soleil informe que ce nouveau pôle urbain constitue le début de la phase active du Plan Sénégal Emergent (PSE)). «15.000 logements à réaliser durant les trois prochaines années. 28 tours de dix étages seront érigées à la gare routière de Pompiers. Satisfaction de l'état d'avancement des travaux du centre de conférence de Diamniadio», explique ce quotidien national.
«Macky lance sa ville nouvelle», titre le journal Sud Quotidien. Selon Le Quotidien, cette nouvelle ville va coûter plus de 325 milliards F CFA.
La presse relaie également la réponse du chef de l'Etat aux critiques de l'opposition, animée notamment par Wade et son ancien Pm Idrissa Seck. «Ce n'est que de la poussière», dit le président Sall dans L'As.
«Macky banalise les attaques contre le régime», écrit Le Populaire à sa Une. Dans ce journal, le président de la République soutient : «La parole n'est que poussière, il faut laisser passer».
Le Populaire revient sur le livre Le Coran et la Culture grecque de l'Universitaire Oumar Sankharé qui suscite beaucoup de polémique. Dans Le Pop, le professeur Sankharé précise : «je ne suis le suppôt d'aucun lobby islamophobe, encore moins le bras armé d'aucune organisation occulte anti-islamique».
Sur l'indignation soulevée par ce livre chez les chefs religieux, le professeur Sankharé dit dans La Tribune : «Je m'excuse».
« Si ma sécurité est assurée, j'irais voir tous les chefs religieux pour présenter mes excuses», ajoute-t-il dans L'As.
TE/APA
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