Le lancement effectif du bracelet électronique a eu lieu mardi 15 novembre à Dakar avec l’inauguration par le ministre de la Justice d’un « centre de surveillance électronique ». Une alternative à la détention prévue depuis la réforme du code pénal en 2020. Objectif : désengorger les prisons.
Mille bracelets électroniques sont déjà disponibles selon le ministère de la Justice. Son recours permettra de « réduire les mandats de dépôt et limiter les peines privatives de liberté », affirme le garde des Sceaux. Pour Ismaïla Madior Fall, c’est une « solution rassurante », « à la lisière de la liberté et de la détention », tout en prenant en compte « les intérêts de la société et des victimes ».... suite de l'article sur RFI