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«Le budget de l’UA est trop dépendant des contributions non-africaines»
Publié le mercredi 4 decembre 2013   |  RFI




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Le sommet de l’Elysée qui s’ouvre en fin de semaine à Paris débattra des modalités de la mise en place d’une force africaine capable d’assurer la paix et la sécurité sur le continent. RFI a interrogé Thierry Vircoulon, directeur du projet « Afrique centrale » au sein de l’International Crisis Group, sur les efforts déployés par les organisations africaines pour la prévention et la gestion des conflits en Afrique.

RFI: Compte tenu de l’engagement militaire français au Mali et bientôt en Centrafrique, diriez-vous que la France est redevenue le gendarme de l’Afrique ?

Thierry Vircoulon : Je ne crois pas. L’expression « gendarme de l’Afrique » correspondait à des interventions qui consistaient à maintenir des régimes en place ou à intervenir dans des conflits opposant les pays africains entre eux. Ni le Mali, ni la Centrafrique ne correspondent à ça. Le temps des interventions militaires pour faire ou défaire des régimes africains est révolu.

Toujours est-il qu’au Mali comme en Centrafrique, la France se retrouve en première ligne. Le sommet de l’Elysée qui s’ouvre cette semaine a précisément pour objectif de mettre en place une architecture sécuritaire africaine qui permettrait à la France, en cas de crise, de rester au second plan ou d’intervenir dans un cadre multilatéral. Compte tenu de la situation sur le terrain, une telle ambition vous paraît-elle réaliste ?
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