Alors que les Nations unies n’ont toujours pas répondu au Mali qui a demandé une réunion du Conseil de sécurité, le Sénégal se place comme médiateur entre le président de la transition Assimi Goïta et le président français Emmanuel Macron.
Le 15 août, le ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop avait accusé la France d’incursions illégales dans son espace aérien et de soutenir des groupes jihadistes.
Face à ces tensions, Dakar assure « suivre la question » qui oppose Bamako et Paris. « On souhaite que tout ce qui se passe, dans notre espace, à côté de nous et particulièrement au Mali, se règle par la négociation, l’entente et dans la plus parfaite cordialité », a expliqué la ministre sénégalaise des Affaires étrangères, Aïssata Tall Sall, au micro de notre correspondante à Dakar, Théa Ollivier.... suite de l'article sur RFI