Alors que les tensions montent entre la majorité présidentielle et la principale coalition d’opposition, d’autres formations politiques espèrent tirer leur épingle du jeu lors des élections législatives du 31 juillet.
Un vacarme assourdissant. Mercredi 22 juin dans la soirée, Dakar et plusieurs autres localités de l’intérieur du pays ont vibré au son des casseroles et des marmites. À l’université Cheikh Anta Diop et dans plusieurs quartiers résidentiels de la capitale sénégalaise comme Ouest Foire, des habitants de tous les âges sont sortis à 20 heures dans la rue ou sur leur balcon, pour faire un maximum de bruit.... suite de l'article sur Jeune Afrique