La 14e Biennale d’art contemporain investit la capitale du Sénégal et se cherche de nouveaux publics avec des œuvres exposées dans les rues. Une édition dominée par les questionnements post-coloniaux et écolos, qui confirme l’intérêt des investisseurs privés pour un secteur en pleine explosion.
L’ancien palais de justice de Dakar est un magnifique bâtiment des années 50. Il trône au bout de l’avenue Pasteur, sur la pointe de la presqu’île qui accueille le centre administratif de la capitale sénégalaise, le Plateau. C’est dans ses grandes salles d’audience désaffectées, entre ses hautes colonnes en béton et autour de son patio ombragé que la Biennale de l’art africain contemporain expose, depuis 2016, les œuvres de la sélection officielle.... suite de l'article sur Autre presse