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Procès du meurtre de Ndiaga Diouf : Barth édifié le 21 septembre prochain
Publié le mercredi 18 mai 2022  |  Sud Quotidien
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© aDakar.com par BL
Les leaders de l`opposition chez Barthélémy Dias
Dakar, le 1er décembre 2021 - Les leaders de l`opposition se sont retrouvés, mercredi 1er décembre 2021, chez Barthélémy Dias pour lui apporter leur soutien.
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Il n’y aura pas de verdict ce matin, mercredi 18 mai 2022, jour initialement prévu pour le verdict dans le procès en appel sur l’appel Ndiaga Diouf, du nom du nervi tué en décembre 2011 lors de l’attaque de la mairie de Mermoz-Sacré Cœur. La cour d’appel a décidé de proroger sa décision à la date du 21 septembre prochain. Le maire de la ville de Dakar, Barthélémy Dias qui a interjeté appel doit encore prendre son mal en patience.

À noter que la salle où devait se tenir le délibéré était pleine à craquer depuis 8 h 00. Il n’y avait plus de places assises à l’intérieur de la salle où le dispositif sécuritaire avait été renforcé avec pas moins de dix Gendarmes veillant au respect des consignes de silence total.

Au démarrage de l’audience à 10h, Barthélémy Dias qui a fait appel n’était toujours pas arrivé. Par contre, l’ancien maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall et d’autres responsables de sa coalition politique Taxaw Dakar étaient présents depuis 08 heures.

Pour rappel, appelée à la Barre le mercredi 2 mars, l’affaire Ndiaga Diouf, a été mise en délibéré pour ce 18 mai. Lors de l’audience dans le cadre de cette affaire, le Procureur général avait demandé l’infirmation de la peine de 2 ans dont 6 mois ferme retenue contre l’actuel maire de la ville de Dakar, Barthélémy Toye Dias par le juge de la première instance.

Dans son réquisitoire, le maître des poursuites avait ainsi requis une condamnation à 5 ans d’emprisonnement ferme. Pour sa part, la famille de feu Ndiaga Diouf, du nom du nervi tué en décembre 2011 lors de l’attaque de la mairie de Mermoz-Sacré Cœur alors dirigée par Barthélémy Dias réclamait 150 millions en guise de dédommagement et intérêts, soit 6 fois les 25 millions de F CFA retenus par le juge de la première instance. Soulignant de leur côté que la balle qui a tué Ndiaga Diouf ne provenait pas de l’arme que détenait leur client, les avocats de la défense avaient plaidé le renvoi de Barthélémy Dias à toutes fins de poursuite.
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